Le Grand Kuraq-Kroq-Gar I

*Extrait du Livre des Héros de Lustrie*


"Dans un grognement sourd, un carnosaure fit irruption dans la clairière, brisant les branches qui lui barraient le chemin et piétinant les arbres les plus jeunes. Oublieux des échardes et des lianes qui fouetaient son casque, le grand Kuraq Kroq-Gar était juché sur le dos du puissant Grymloq. Le redoutable carnosaure qui lui servait de monture de guerre depuis près de six siècles claqua des machoires, et sans meme ralentir attrapa au vol l'un des oiseaux tropical avant de l'avaler tout entier. Levant la tête, Kroq-Gar poussa un long cri d'appel auquel Grymloq répondi par un mugissement assourdissant qui raisonnna dans l'air humide, annonçant a tous les habitants de la jungle que leur roi était en chasse. Kroq-Gar levat sa hache a double tranchant, se réjouissant par avance du carnage qu'il allait faire des intrus qui avait osé pénétré sur ses terres."
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"Dans un rugissement sauvage, Grymloq s'élança hors de la jungle, labourant le sol détrempé de ses puissantes griffes. Les montures de l'ennemi se cabrèrent a la vue de l'immense prédateur. D'un coup de ses puissantes pattes, le carnosaure brisa les jambes d'un des chevaux puis mordit le cou d'une autre, mettant fin a ses henissement térrifiés. Kroq-Gar, lui, tout en parant une attaque de son large bouclier noir, decapita le maitre de la défunte monture. Les deux compagnos, si différents fuent-ils, était en parfaite harmonie de fureur et d'adrénaline. Mais il arriva une chose qu'ils n'avaient pas prévu..."
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"Kroq-Gar et son fidèle carnosaure avançaient dans la mélée, se riant de l'ennemi, tailladant, déchiquetant et brisant corps et ames. Le Champion des intrus se tenait devant eux. Un tas de cadavre, autrefois des compagnos d'armes de Kroq-Gar l'entourait. Poussant un cri rauque de fureur, et imité par Grymloq, Kroq-GAr s'élança sur son nouvel adversaire. Celui-ci para l'attaque puissante, et relevant sa tete vétue d'un casque aux signes calibastiques, brisa la machoire du carnosaure d'un revers de son immense marteau avant meme que celui-ci n'ai le temps de le mordre. Grymloq s'éfondra, toute vie ayant disparue de son corps mort sur le coup.
Désarçonné, Kroq-Gar tomba lui aussi dans la vase qui parcourait les marécages purulent de la jungle. Six siècle de complicité et d'entente avaient été réduites a néant par un seul homme... Et cet homme allait mourir. Le vacarme de l'acier cognant sur l'acier, des cris a la mort, des hurlement de douleur ou de victoire donnait a cette scene un air apocalyptique. Kroq-Gar, ramassant sa large hache, se releva et fonça sur son adversaire. Tout en parrant les attaques dévastatrices du Champion, il frappait, frappait, frappait de toute ses forces, feintant, utilisant toutes les techniques qu'il connaissait pour le tuer. Et finalement d'un coup puissant il décapitant celui qui avait tuer son compagnon."
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"Le jour touchait a sa fin. Un soleil rouge se couchait. Le peuple de Lustrie enterrait ses morts, et aussi ceux de l'ennemi. Des soldats enterraient leurs amis en pleurant. Kuraq Kroq-Gar enterrait Grymloq, en pleurant. Ils enterrait aussi l'assasin du carnosaure, en pleurant. Lors de cette bataille, il avait perdu... C'était la premiere fois... Perdu...
Cette nuit la, il ne dormit pas. Ils la passa sur les rives de la Grande Flaque (l'océan) a admirer ses multiples reflets, a admirer la lune, et il croyait distinguer le sourire carnassier de Grymloq. Tout guerit avec le temps... Ma cette blessure de six siecle de mémoire ne s'effacera pas... C'est alors qu'il décida de partir. Loin, tres loin dans un continent que les anciens mentionnent sous le noms de Tyrie. Une terre éloignée ou la civilisation humaine a pris le dessus sur celle des insectes et de la jungle... Un chevalier errant a la recherche d'un sanctuaire, d'une destinée... A la recherche du repos tout simplement... Un chevalier errant. Cette idée lui plaisait bien... Mais ceci est une autre histoire..."

*Extrait du Livre des Terres Brulées*

Du sable noir... Des rochers noirs... Un ciel noir... Des montagnes noires... De la pluie noire... Surement tombait-elle de cet immense volcan qui ne porte pas de nom... Tout ici était noir... Les paysages, les hommes, les esprits... Comment pouvait-ont vivre dans ce desert de haine et de mort ? C'est une bonne question. Seul les personnalités ayant deja vécu en enfer le peuvent car ici meme est pire que l'enfert. L'air est si chaud que le soleil se sent ridicule. Des courant brulant amenent des pluie d'acides qui tombent des jours durant, sculptant les immenses dents des récifs et rocs plongeant dans une mer habitué par on ne sait quoi... Des créatures oubliée, tout aussi noires que leur habitat rodent aux alentour et oublient l'espace de la vie et du temps... Les pluies de laves crachent leur immonde substance baveuse qui jaillit des entrailles de la terre, tels des pleurs d'agonie provenant de la tristesse du monde. Aucun espoir de vie n'est possible la-bas. Tout n'est que haine, rancune regret... Pourtant, une personne, n'ayant plus aucune raison de vivre, se sentant completement inutile en ce bas monde, malaxant et se renfermant sur sa haine, sa rancune, ses regrets, a trouvé refuge dans un tel endroit. Il n'as pas le courage de se donner la mort. Il erre comme un ame damné de l'enfer, comme une coquille vide, comme un envelloppe charnelle qu'on aurait jeté une fois qu'elle n'est plus utile. Il en est venu a tout hair ici, lui en premier, puis chaque rocher, chaque grain de poussiere, chaque goute de pluie, chaque etre vivant. Vétu d'une armure aussi noire que son ame, les yeux injecté de sang , il arpente cette ile inhospitaliere en massacrant chaque espece indigene ayant réussit a survivre sans aucune pitié. Cette ile était son enfert, sa punition... Pour toujours.

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Eux... Ces etres suranturel a l'esprit aussi noir que ce chevalier errant... Plus grand que la normale, des yeux de mouche, des ailes de libellules, un corps d'humain habillés seulement d'une simple toge... Grotesques en apparence. Mursaats... Des autochnaunes vivant sur son ile... Ils ne devait pas etre la... Il les haissait... Il devait les exterminer...jusqu'au dernier !
C'est ainsi que l'ermite haineux de toute chose commença a massacrer ces nouveaux arrivants. Bien qu'agé de plus de 6 siecles, il était rongé par une rancune telle que la mort ne voulait pas de lui. Ah ces mursaat... si faibles... si délicieux a decouper en lamelles aussi fines que le tranchant de sa hache... Quel plaisir ensuite de nettoyer leur sang de son armure dans les lacs d'acide qui la rendait plus noire chaque jour... Mais ces crétures, Mursaat comme ils s'appellent entre eux, cherchaient a proteger quelque chose... Quoi ? Peu importe, il allait detruire cette chose, ainsi que ces gardiens... Comme autrfois dans la jungle, il se disait " la chasse promet d'etre bonne"
Soudain un élant de souvenir et d'émotion qu'il pensait ne plus jamais pouvoir ressentir l'envahi. La foret, son royaume, ses sujets, les insectes délicieusement rotis dans son plais d'Hexacoalt... Grymloq... Pourquoi un tel attachement a une créature aussi peu développé par rapport a lui ? pourquoi ? pourquoi ? Etait-ce elle qui l'avait mener ici ? fait subir toutes ce souffrance ? Oui c'était sa faute... Et il falait qu'il se vange de lui ! Comment ? et bien c'est facile non ? En massacrant ces immondes mursaat !!!!

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Eh d'un ! Eh de deux ! Voila la tete du troisieme ! Ce bras du quatrieme ferai un beau trophée dans sa caverne ! D'un coup leste et détendu, révelant sa facilité a tuer, Kroq-Gar transperça le cinquieme gardien. Il avait pénétré dans l'enceinte de la forteresse des Mursaats, et ayant tué tout ce qui pouvait etre tué, avait finalement acceder a ce que gardait ces créatures. Cela ressemblait a une énorme porte, rectangulaire, haute d'a peu pres 3m50 et large de 2. Des runes a caractere gothique était disposées au dessus de l'arche de cette porte de façon a créer une voute. Un oeil gravée sur les deux battants de la porte, sans poingée d'allieur, semblait vous observer avec une insistance déroutante, comme si il essayait de lire vos pensées les plus secretes. Deux colones disposées symétriquement de chaque coté de la porte étaient éclaboussées de sang, mais pas de celui des mursaats. On pouvait en effet voir le tas de cadavre sur le coté, ayant surement servi a écrire ces inscriptions incantatoires sur les colones. Hum se dit le chevalier noir, alors comme sa c'est une porte... Tres bien voyons ce qu'il y a de l'autre coté. Surement d'autres chairs fraiches a déchiqueter.
Il rangeat sa hache, et s'avança sur le piedestral qui précedait la porte. Une fois dessus, les runes et les inscriptions s'illuminerent, rouges comme du sang, et la porte s'ouvrit. Kroq-Gar, riant aux éclat, se laissa aspirer par les miliers de tentacules noires qui sortaient de la porte. Une fois dedans, celle-ci se referma.